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11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 09:51

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Jean PEROL

 

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Poésie

 

L'AUTEUR :

Il est né en 1932 à Vienne en France. Romancier et poète français. En 1961, il part pour le Japon. Il va y séjourner souvent pendant plus de 20 ans. Il y dirigera l'Institut Français de Tokyo de 1984 à 1989. Il va aussi vivre en Louisiane, à Kaboul (Afghanistan), New-York. Il est de retour en France depuis 1989 et vit entre Paris et l'Ardèche.

 

 

 

 

LE LIVRE: Libre livre (151 pages – 2012)

Sélection du prix Lettres Frontières, section Rhône-Alpes.

 

 

Recueil de poésies avec un titre à chaque fois à la fin du poème.

Vers la fin, ce sont plutôt des textes poétiques.

 

 

MON AVIS : J'ai déjà du mal avec la poésie en général, mais là je n'ai pas du tout aimé. Les textes vers la fin du recueil sont encore plus hermétiques et compliqués à mon goût. J'ai même trouvé le livre souvent déprimant et parfois cynique.

 

BIBLIOGRAPHIE :

Poésie 1953-1978

Histoire contemporaine

Le soleil se couche à Nippori

Maintenant les soleils

A part et passager

Un été mémorable

 

 

 

 

 

 

 

 

LES PLAISIRS DE LA TABLE :

Je n'ai vraiment aucune envie d'allier une recette de cuisine avec le livre.

 

 

 

 

 

Martine M.

 

 

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8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 09:31

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André BUCHER

 

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Roman

 

L'AUTEUR :

Il est né en 1946 à Mulhouse. Il a beaucoup voyagé grâce à ses différents métiers tels que docker, bûcheron, routier, ouvrier agricole ou berger. Il s'installe à Montfroc dans la Drôme en 1975. Il y vit toujours. Il est le fils d'un chef de gare qui passait son temps libre à cultiver la terre. Il a commencé à 6 ans et cette passion ne s'est jamais démentie. Il s'intéresse à l'agriculture biologique et en a fait son métier. Il a planté environ 20000 arbres et maintenant il peut contempler cette forêt.

 

 

 

 

LE LIVRE: Fée d'hiver (153 pages – 2012)

Sélection du prix Lettres Frontières, section Rhône-Alpes.

 

 

Les personnages : Daniel et Richard, 2 frères qui ont vécu un drame épouvantable dans leur enfance ; leur père a tué leur mère dans une crise de jalousie et s'est ensuite suicidé. Ils vivent ensemble dans leur ferme.

Alice, Robert et Pierre sont frères et sœur et les enfants de celui qui était l'amant de la mère de Daniel et Richard. Ils ont une scierie où Alice travaille comme secrétaire. Elle ne s'entend pas du tout avec ses frères surtout Robert l'aîné qui est rétrograde et veut tout régenter, tout le monde doit lui obéir. Elle épouse Louis, leur cousin qui travaille également avec ses frères. Il est alcoolique et la bat, alors elle le quitte. Vladimir est un croate qui a vu toute sa famille massacrée pendant la guerre de Bosnie. Il arrive dans la vallée et travaille comme bûcheron à la scierie. Il se lie d'amitié avec Daniel et Richard qui vont lui offrir un toit et tombe amoureux d'Alice.

 

 

MON AVIS : Très belle écriture poétique parfois alambiquée mais tellement agréable à lire ! Cela faisait longtemps que je n'avais pas appris de nouveaux mots et enrichit mon vocabulaire. Les descriptions de la nature, des hivers, des sentiments humains sont beaux, il ne faut pas sauter de mots ou de lignes ! Cela peut lasser certains lecteurs car le roman demande pas mal de concentration.

 

BIBLIOGRAPHIE :

Le pays qui vient de loin

Le cabaret des oiseaux

Déneiger le ciel

Pays à vendre

La cascade aux miroirs

La vallée seule (à paraître en août 2013)

 

 

 

 

 

 

 

 

LES PLAISIRS DE LA TABLE :

Je ne vais pas donner de recette de cuisine mais plutôt un extrait du livre pour montrer la richesse de vocabulaire du roman :Vladimir est devant sa petite maison dans le Val-triste et contemple la nature :

«  Le vent se taisait maintenant. Il contempla le ciel monté à cru, poncé, saturé d'étoiles. Sous la neige, il entendit le petit ruisseau clapoter de la langue avec, en bout de champ, terré sans doute dans la fourche, le trou d'un arbre, un hibou ou une effraie qui hululait. Sans quoi, plus rien, hormis le poids de ce superbe silence du lieu. Il se déployait, lui procurant une bienvenue sérénité avec la certitude que sa vie pourrait s'y dérouler, rugueuse, mais juste et méritée. Qu'il lui faudrait lutter, convaincre à son tour Alice que leur couple possédait un avenir et ne dépareillait pas le moins du monde au cœur de ce foutu pays. »

 

 

 

 

 

Martine M.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 09:32

Grand-nu-orange.jpg

 

Nathalie CHAIX

 

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Roman

 

L'AUTEURE :

Ecrivain suisse, elle vit et travaille à Genève. Elle a fait des études en communication et en histoire de l'art. Elle a collaboré 17 ans au département de la Culture de la ville de Genève. Elle dirige aujourd'hui le Service des Affaires Culturelles et de la Communication de Carouge.

 

 

 

LE LIVRE : Grand nu orange ( 198 pages – 2012)

Sélection du prix Lettres Frontières, catégorie Suisse romande.

 

Le roman est une sorte de biographie du peintre Nicolas de Staël. Il parle de ses obsessions, en particulier pour une femme, de sa famille, de ses enfants, de ses amis proches. Surtout il décrit sa manière de peindre, les couleurs, les doutes de l'artiste. De la poésie s'intercale parfois entre certains chapitres. La voix de sa maîtresse aussi vient ponctuer les paragraphes consacrés au peintre.

 

 

MON AVIS : le roman se lit facilement, l'écriture est fluide. Après, il faut s'intéresser à la peinture et pour mieux comprendre le livre, il faut aller se renseigner sur l'artiste. Les états d'âme de Nicolas de Staël sont décrits avec précision et j'ai trouvé ça un peu lassant.

 

BIBLIOGRAPHIE :

Exit Adonis

 

 

 

 

 

 

 

LES PLAISIRS DE LA TABLE :

Je n'ai pas été inspirée en lisant le livre.

 

 

 

 

Martine M.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 08:45

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Hubert MINGARELLI

 

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Roman

 

L'AUTEUR :

Il est né le 14 janvier 1956 en Lorraine. Il quitte l'école à 17 ans pour s'engager dans la marine dans laquelle il restera 3 ans. Après il s'installe à Grenoble et fait différents métiers pour vivre. Il commence à publier dans les années 80. Maintenant il habite dans les Alpes. Dans ses romans, on retrouve souvent la thématique des rapports père-fils ainsi que l'amitié entre hommes.

 

 

 

LE LIVRE : Un repas en hiver ( 137 pages – 2012)

Sélection du prix Lettres Frontières, catégorie Rhône-Alpes.

 

Trois soldats allemands pendant la seconde guerre mondiale : Bauer, Emmerich et le narrateur.

C'est l'hiver en Pologhe, il fait très froid. Au début du livre, pour échapper à une corvée, on ne sait pas encore de quoi il s'agit, ils demandent à partir à la chasse. C'est à la page 43 que l'on comprend qu'ils vont à la chasse aux Juifs. Ils en trouve un et sur le chemin du retour s'arrêtent dans une maison abandonnée. Ils ont faim et veulent faire cuire une soupe avec de la semoule de maïs, un saucisson et un oignon. Il vont utiliser les portes, les chaises pour faire du feu dans le poêle.

Emmerich est le seul à avoir un enfant, un garçon, et il a constamment peur pour lui et demande toujours aux autres de lui donner des idées pour empêcher son fils de fumer. Cette préoccupation le rend taciturne et dépressif. Un polonais et son chien frappent à la porte, entrent pour se réchauffer. Le polonais insulte le juif et on comprend qu'il les déteste. Les allemands trouvent le polonais très déplaisant et se demandent si ils vont le jeter dehors ou lui donner un peu de leur soupe. Comme ils manquent de combustible, ils arrachent la porte de la remise où se trouvait le juif, plus aucune barrière ne les sépare maintenant. Bauer va proposer au juif de manger avec eux avant tout pour déplaire au polonais mais aussi par humanité. Emmerich voudrait le libérer mais ils ne peuvent pas. On comprend que leur désir de partir à la chasse leur permet d'échapper au boulot à la caserne : cela consiste à fusiller régulièrement des groupes de juifs.

 

 

MON AVIS : j'ai bien aimé le roman d'abord par son écriture magnifique, simple et descriptive. Dans sa simplicité, j'ai trouvé énormément de poids aux mots, il faut aller plus loin que le premier stade de lecture. L'histoire aussi est peu banale. L'amitié entre ces trois allemands est forte, les soutient et leur permet de continuer à vivre.

 

BIBLIOGRAPHIE : entre autres

Quatre soldats

La lettre de Buenos-Aires

La dernière neige

La promesse

Marcher sur la rivière

Une rivière verte et silencieuse

Hommes sans mère

La beauté des loutres

La route de Beit Zera

 

Romans ados :

Le bruit du vent

Le jour de la cavalerie

Océan pacifique

 

Roman jeunesse :

La lumière volée

 

 

 

 

 

 

 

LES PLAISIRS DE LA TABLE :

Je ne propose pas de recette de cuisine mais plutôt un extrait du livre pour saluer l'écriture de l'auteur :

« Bauer donne le signal, il puisa une rondelle de saucisson dans la casserole et l'accompagna d'une bouchée de pain doré. Chacun y alla ensuite.

Ainsi commença le repas le plus étrange que nous fîmes en Pologne.

Dehors par la fenêtre, la lumière était toute pâle et s'en allait encore. Les flammes dans la cuisinière nous éclairaient par derrière, nous mangions et nos ombres nous accompagnaient en dansant sur la table. »

 

 

 

Martine M.

 

 

 

 

 

 

 

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 18:16

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Franck PAVLOFF

 

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Roman

 

L'AUTEUR :

Il est né à Nîmes en 1940. Il s'est occupé pendant 20 ans environ de développement social communautaire et du Droit des enfants dans beaucoup de pays (Afrique, Asie, Amérique Latine, France, etc...). Il a également travaillé au tribunal de grande instance de Grenoble. Il est diplômé de psychopathologie et de sociologie. Il est éducateur de rue, responsable d'une association de prévention de la toxicomanie et de la délinquance. Il anime aussi des ateliers d'écriture pour adultes, universitaires et scolaires. Il est directeur de la collection « Souris Noire » chez Syros.

Son premier roman est paru en 1993. Il est très prolifique et écrit aussi bien pour les adultes que pour la jeunesse, de la poésie aussi, des nouvelles, des carnets de voyage, des études et essais.

 

 

 

LE LIVRE : L'homme à la carrure d'ours ( 203 pages – 2012)

Sélection du prix Lettres Frontières, catégorie Rhône-Alpes.

 

Kolya est un sculpteur d'ivoire et descendant des lapons. Il vit dans l'arctique dans un monde dévasté par les déchets radioactifs. Plusieurs communautés vivent là, s'ignorent ou se déchirent mais en tout cas ne peuvent pas en partir ; des guetteurs les abattraient si ils essayaient. Lyouba est une jeune-fille, l'unique enfant à y être née dans cette zone rendue hostile par l'environnement, mais aussi par les hommes. Beaucoup de personnes sont mortes à cause des radiations, et la poignée de survivants est malade, stérile. Lyouba est donnée en pâture aux hommes en espérant qu'elle sera fertile et redonnera l'espoir. Kolya est le seul qui la comprend et essaie de l'aider. Elle va rencontrer un jeune garçon qui vient de l'île en face en bateau pour récupérer des objets. Grâce à lui, elle va pouvoir s'enfuir, découvrir « ailleurs » et faire sa vie.

 

 

MON AVIS : j'ai lu tout le roman parce que l'écriture et le vocabulaire employé sont magnifiques. Je n'ai pas été enthousiasmé par l'histoire, la méchanceté de l'humanité, un monde hostile sans espoir.

 

BIBLIOGRAPHIE : entre autres

Matin brun : nouvelle qui l'a fait connaître dans le monde entier : contre l'intolérance.

Romans adultes :

Le grand exil

Le pont de Ran-Mositar

Haute est la tour

Pondichéry goa

La gare de Lourenço-Marquès

 

Romans jeunesse : entre autres

Mon copain a volé

Menace sur la ville

Eola, quand est-ce qu'on s'en va ?

Le squat résiste

Prise d'otage au soleil

 

Essais :

Le silence des aigles

Sommeil de pagne

 

Album jeunesse :

Les trois cadeaux avec Christelle Enault

 

Etude :

Après moi, Hiroshima avec Marianne Jaeglé

 

 

 

 

LES PLAISIRS DE LA TABLE :

Je n'ai pas pensé à la cuisine en lisant le livre.

 

 

 

Martine M.

 

 

 

 

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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 16:25

chemin-sauvage.jpg

 

Jean-François HAAS

 

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Roman

 

L'AUTEUR :

C'est un écrivain suisse, né en 1952. Il a fait ses études à l'Université de Fribourg.

 

 

 

LE LIVRE : Le chemin sauvage ( 325 pages – 2012)

Sélection Suisse-Romande du prix de Lettres Frontières 2013.

Le narrateur, un jeune garçon de 13 ans vit beaucoup dans l'imaginaire. L'histoire se passe il y a 50 ans dans un village suisse. Il joue très souvent avec ses copains Rémi et Tonio. Ils inventent des jeux de guerres comme pendant la seconde guerre mondiale. Un barrage est en train d'être constuit par des italiens, travailleurs étrangers pas vraiment aimés par les habitants. Le narrateur est ami avec Myriam, une petite-fille de son âge qui est orpheline. L'orphelinat la « mise » : c'est à dire qu'elle est vendue à une ferme pour travailler comme servante. Une esclave à bon marché ! Ils vont à l'école ensemble et elle lui raconte son rêve : retrouver sa mère. Mais Myriam subit les avances du grand-père, du fils, d'un soldat et le raconte à son ami. Et Myriam disparaît ! Et puis on retrouvera son corps dans une grotte ; elle a été violée et assassinée. Seul le jeune-garçon peut témoigner de ce qu'elle a dit mais il est fils d'ouvrier et les habitants voient d'un mauvais œil tout ce qu'il raconte. Ils vont être obligés de déménager, mais il n'oubliera jamais et finira par connaître le fin mot de l'histoire.

 

 

MON AVIS : C'est une histoire intéressante qui aurait pu se passer dans n'importe quel village du monde. Les habitants n'aiment pas les étrangers, exploitent les enfants, etc... Par contre j'ai été déroutée par l'écriture très complexe, « littéraire ». De grands paragraphes descriptifs : il faut s'accrocher pour les lire. Et puis j'ai eu du mal à comprendre les différents mondes du garçon, je n'arrivais pas à savoir quand il racontait la réalité et quand il imaginait. Au bout d'un moment, j'ai compris mais vraiment j'ai eu du mal à aller jusqu'au bout.

 

BIBLIOGRAPHIE :

Dans la gueule de la baleine guerre

J'ai avancé comme la nuit vient.

 

 

 

LES PLAISIRS DE LA TABLE :

Je n'ai eu aucune envie de proposer une recette de cuisine.

 

 

 

 

Martine M.

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 20:06

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Julien DUFRESNE-LAMY

 

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Roman

 

L'AUTEUR :

Il est né en 1987, a fait ses études à Lyon et vit à Paris. Il s'intéresse beaucoup aux séries télévisées.

 

 

 

LE LIVRE : Dans ma tête, je m'appelle Alice ( 216 pages – 2012)

Sélection Rhône-Alpes du prix de Lettres Frontières 2013.

Les souvenirs d'une femme qui a eu une enfance très difficile entre un père absent et une mère alcoolique. Elle va avoir 30 ans et se remémore tout ça. Chaque chapitre est un retour en arrière plus ou moins lointain.

 

 

MON AVIS : je n'ai vraiment pas aimé le livre. Les chapitres concernant les références littéraires sont particulièrement difficiles à lire car ils n'ont aucune ponctuation. Je sais bien que c'est fait exprès, mais vraiment je n'ai pas pu accrocher. La vie d'Alice, son enfance, les séquelles qu'elle ressent ne m'ont pas intéressées. Je suis désolée pour l'auteur, peut-être suis-je passée à côté de ce qu'il a voulu transmettre.

 

BIBLIOGRAPHIE :

Le livre est le premier roman de l'auteur. Pour l'instant aucun autre n'est paru.

 

 

 

LES PLAISIRS DE LA TABLE :

Je n'ai eu aucune envie de proposer une recette de cuisine. Je me suis surtout dépêchée de finir le livre pour en prendre un plus intéressant.

 

 

 

 

Martine M.

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 16:07

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Denise MÜTZENBERG

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Poésie

 

L'AUTEURE :

Elle est née à Yverdon en Suisse le 3 septembre 1942, Elle étudie à l'Ecole Normale de Lausanne et devient institutrice. Elle dirige pendant vingt ans environ avec son mari Gabriel Mützenberg la revue « Certitudes ». Elle crée en 1992 une toute petite maison d'édition consacrée à la poésie.

 

 

 

LE LIVRE : Pour Gabriel ( 68 pages – 2012)

Sélection Suisse-Romande 2013 de Lettres Frontières.

C'est un recueil de poèmes consacrés à son mari Gabriel. Poèmes d'amour, de leurs débuts jusqu'à la maladie de celui-ci et son absence.

 

 

MON AVIS : je ne sais pas juger la poésie et j'avoue que je ne la comprends pas toujours. J'ai quand même lu tout le recueil avec une petite préférence pour le chapître intitulé « Suite andalouse en janvier ». Par contre l'ouvrage en lui-même est magnifique avec une très belle typographie et un beau papier. Très bel objet à offrir à quelqu'un qui aime les poèmes. Belle réussite des éditions Cadratin.

 

BIBLIOGRAPHIE :

Aucun titre de l'auteure n'a été publié en France.

 

 

 

LES PLAISIRS DE LA TABLE :

J'ai lu le recueil très vite et n'ai pas ressenti le besoin de parler de cuisine.

 

 

 

 

Martine M.

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 21:10

Harry-Quebert.jpg

 

Joël DICKER

 

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Roman Policier

 

L'AUTEUR :

Il est né en 1985 à Genève. Après avoir suivi le cours Florent à Paris, il étudie le droit à l'Université de Genève. Il en sort diplômé en 2010, Il a fondé à 10 ans, la gazette des animaux, une revue sur la nature qu'il dirigea pendant 7 ans. Il sera le plus jeune rédacteur en chef suisse. Il a écrit des nouvelles et un premier roman.

 

 

 

LE LIVRE : La Vérité sur l'Affaire Harry Québert ( 660 pages – 2012)

Sélection Suisse-Romande 2013 de Lettres Frontières,

 

Prix Goncourt des Lycéens en 2012 et Grand Prix du roman de l'Académie Française.

 

2008, pendant l'élection présidentielle américaine.

L'action se déroule dans la petite ville de province d'Aurora dans le New-Hampshire.

Marcus Goldman est un écrivain qui a connu son heure de gloire avec son premier roman mais qui maintenant n'arrive plus à écrire. Son ancien professeur d'université, Harry Québert, écrivain célèbre, est accusé d'avoir assassiné Nola Kellergan, une jeune-fille de 15 ans en 1975. Son corps a été retrouvé par hasard dans son jardin. Marcus abandonne tout pour aider son ami et son mentor. A travers cette enquête pleine de rebondissements, Marcus va aller au bout de lui-même, au bout de sa quête d'écriture et surtout mettre l'amitié au dessus de toute autre considération.

 

 

 

 

MON AVIS : c'est un livre qu'on ne peut pas lâcher quand on l'a commencé ! L'écriture est géniale et tient en haleine le lecteur. J'ai eu l'impression de soulever des poupées russes en permanence : dès qu'il arrivait quelque chose, l'intrigue repartait dans une autre direction. C'est aussi une histoire d'amour entre un homme trentenaire et une jeune-fille de 15 ans. C'est une très belle réussite.

J'aime bien aussi la couverture : un tableau d'Edward Hopper. C'est l'occasion de découvrir ce peintre.

 

BIBLIOGRAPHIE :

Les derniers jours de nos pères : prix des écrivains Genevois en 2010,

 

 

 

LES PLAISIRS DE LA TABLE :

Mon mari a été ramasser des cerises pendant plusieurs jours dans la Drôme, j'ai fait des tartes aux cerises :

Pour la pâte : cf catégorie Desserts.

Recouvrir un moule à tarte de la pâte ; saupoudrer d'un mélange d'amandes en poudre et de farine le fond de la pâte. C'est pour éviter que les fruits rendent trop de jus.

Couvrir de cerises dénoyautées en les serrant bien. Saupoudrer de sucre semoule et d'un sachet de sucre vanillé.

Faire cuire à four 180° (thermostat 7) pendant une demi-heure environ.

 

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Martine M.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 juillet 2013 6 06 /07 /juillet /2013 07:39

 

Pile20eSel-face-sitenet

Rhône-Alpes

• Bucher André, Fée d’hiver, Le mot et le reste

• Dufresne-Lamy Julien, Dans ma tête je m’appelle Alice, Stock

• Mingarelli Hubert, Un repas en hiver, Stock

• Pavloff Franck, L’Homme à la carrure d’ours, Albin Michel

• Perol Jean, Libre livre, Gallimard

Suisse romande

• Bouvier Thomas, Le Livre du visage aimé, Éditions Zoé

• Chaix Nathalie, Grand nu orange, Bernard Campiche

• Dicker Joël, La Vérité sur l’affaire Harry Quebert, Éditions De Fallois/L’Age d’Homme

• Haas Jean-François, Le Chemin sauvage, Le Seuil

• Mützenberg Denise, Pour Gabriel, Éditions Le Cadratin

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Présentation

  • : Lire avec gourmandise
  • : Le plaisir de lire égale le plaisir de manger ! Les cinq sens sont touchés. La vue : la couverture, le résumé, le titre attirent l'oeil. Le toucher : on prend le livre en main, on l'effleure L'odorat : le papier a une odeur, on y est sensible ou pas ! L'ouïe : en tournant une page, entendre le léger frémissement de la feuille. Le goût : j'ai toujours dit qu'un livre, c'était comme la pâtisserie. On lit quelques pages, on le goûte ; parfois on aime, parfois on déteste.
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